Solaris SPARC et la gestion de la virtualisation

Oracle Solaris SPARC a énormément évolué au fil des années au niveau de la virtualisation. Que ce soit au niveau d’un processus avec Solaris Container ou d’un os virtualisé avec Logical Domain on constate

Plusieurs types de technologies s’entremêle sur Solaris SPARC et il est parfois difficile de savoir à quel point ces technologies marchent entre elles aujourd’hui.

Les progrès en matière de virtualisation sous Solaris SPARC

Depuis la première version de Solaris 10 en 2005, Solaris Container  a pris des proportions incroyables et est la méthode la plus largement utilisée pour la virtualisation sur Solaris, en grande partie parce que cela fonctionne sur toute machine qui fonctionne sous Solaris 10 ou plus.

En 2006, Logical Domains (LDoms) ont été ajoutés et ont fait évoluer l’ensemble avec des améliorations sur les serveurs SPARC équipés de la technologie Chip Multi-Threading (CMT), dont la famille la plus récente est la famille SPARC T4.

La première augmentation significative de l’adoption de Logical Domains a débuté en 2008 avec l’introduction de serveurs basés sur le UltraSPARC T2 Plus, avec une hausse plus important par la suite en popularité en raison des progrès apportés pour les SPARC T3 et T4. La technologie que nous avons connu comme Logical Domains est maintenant appelé Oracle VM Server pour SPARC.

On a une très forte interopérabilité entre ZFS, Solaris Container et Oracle VM Server pour Sparc depuis Oracle Solaris 11

 Enterprise Manager Ops Center

La nouvelle version d’Ops Center dans Oracle Enterprise Manager 12c apporte beaucoup à la relation qu’il y a entre ces différents produits. En effet, avec Live Migration on peut maintenant centraliser la virtualisation de manière plus efficace notamment quand il y a de très nombreux container et qu’il faut savoir mixer entre les configurations de stockages sous ZFS et les serveurs virtuels avec Oracle VM Server pour Sparc.

 

 

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